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Par Mél1 le 28 Août 2004 à 13:36
J'ai des mauvais rêves
Et tu fais des mauvais rêves
Pendant qu'ils dorment bien tranquilles
Je, tu, ils
J'ai peur dans le noir
Et toi tu pleures au fond des bars
Attention ! Tout ça c'est fragile
Je, tu, ils
J'envoie des ballons des coups de pied
Mon p'tit frère joue à la poupée
Maman est en haut, papa est en bas
Qui l'aime pas
Je, tu, ils
Et comprendre c'est pas facile
Je, tu, ils
C'est des enfants perdus
des parents qui s'aiment plus
Papa en voyage,
maman le suit à la nage
avec des larmes qui défilent
Je, tu, ils
Papa qui sourit
maman peut pas mais fait comme si
et puis le doute se faufile
Je, tu, ilsBien sûr, on aura d'autres mamans
toujours plus jeunes que celle d'avant
Et des frères à demi,
qu'on aimera. C'est promis.
Je, tu, ils
Et comprendre c'est pas facile
Je, tu, ils
C'est des enfants perdus
des parents qui s'aiment plus
Je, tu, ils
Et comprendre c'est pas facile
Je, tu, ils
Et changer sera difficile
Je, tu, ils
Et grandir c'est pas facile
Je, tu, ils
C'est des enfants sauvages
Qui f'ront pareil à notre age
Je, tu, ils
Je, tu, ils
Je, tu, ils
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Par Mél1 le 28 Août 2004 à 13:34
Il a tourné sa vie dans tous les sens
Pour savoir si ça avait un sens l'existence
Il a demandé leur avis à des tas de gens ravis
Ravis, ravis, de donner leur avis sur la vie
Il a traversé les vapeurs des derviches tourneurs
Des haschich fumeurs et il a ditLa vie ne vaut rien, rien, rien, la vie ne vaut rien
Mais moi quand je tiens, tiens,
Là dans mes mains éblouies,
Les deux jolis petits seins de mon amie,
Là je dis rien, rien, rien, rien ne vaut la vie,Il a vu l'espace qui passe
Entre la jet set les fastes, les palaces
Et puis les techniciens de surface,
D'autres espèrent dans les clochers, les monastères
Voir le vieux sergent pépère mais ce n'est que Richard Gere,
Il est entré comme un insecte sur site d'Internet
Voir les gens des sectes et il a ditLa vie ne vaut rien, rien, rien, la vie ne vaut rien
Mais moi quand je tiens, tiens,
Là dans mes mains éblouies,
Les deux jolis petits seins de mon amie,
Là je dis rien, rien, rien, rien ne vaut la vieIl a vu manque d'amour, manque d'argent
Comme la vie c'est détergeant
Et comme ça nettoie les gens,
Il a joué jeux interdit pour des amis endormis,
Et il a ditLa vie ne vaut rien, rien, rien, la vie ne vaut rien
Mais moi quand je tiens, tiens,
Là dans mes mains éblouies,
Les deux jolis petits seins de mon amie,
Là je dis rien, rien, rien, rien ne vaut la vie.
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Par Mél1 le 28 Août 2004 à 13:33
Tu restes chez toi à boire un verre,
Devant la télé allumée,
Mais tu vois les choses de travers,
Si tu attends qu'on vienne te chercher,
Maintenant qu'est-ce que tu vas faire,
Quand le programme est terminé,
Tu sors, tu vas prendre l'air,
Te changer un peu les idées,
C'est peut-être moi
Peut-être toi,
Peut-être toi et moi,
Qui pouvons changer ça.Tu démarres, tu mets la radio,
pour sentir quelqu'un même derrière un micro,
Si tu continues bientôt,
Tu resteras seul à parler tout haut,
C'est peut-être moi
Peut-être toi,
Peut-être toi et moi,
Qui pouvons changer ça.Le monde est plein de gens qui parlent,
Sans jamais vraiment rien se dire,
Qui vivent la vie qu'on leur prépare,
En oubliant même leurs désirs
C'est peut-être moi
Peut-être toi,
Peut-être toi et moi,
Qui pouvons changer ça.Peut-être moi
Peut-être toi,
Peut-être toi et moi,
Réfléchis un peu à tout ça?
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Par Mél1 le 28 Août 2004 à 13:33
Partir ou rester
Quand le départ est donné
Faire comme les autres
Qui font que s'en allerFaut-il suivre leur boussole
Ou rester cloué au sol ?
Nos vies malgré nous
Voyagent enracinéesSe faire depasser
Voir s'éloigner l'arrivée
Pour n'être pas parti du bon coté
Aller à contre courant
Sans jamais passer devant
Tenir malgré tout
Juste pour avancerEt si on laissait faire
Le temps
Le temps d'être à sa place
Toujours vivant
Et si on se donnait le temps
De se voir face à face
Tout simplement
Se laisser faire
Sans decider
Partir ou resterLaisser de coté
L'envie d'être le premier
Et regarder les autres se croiser
Mais n'en vouloir à personne
Etre sans fleurs ni couronnes
Car, par dessus tout
On cherche à se trouverEt si on laissait faire
Le temps
Le temps d'être à sa place
Toujours vivant
Et si on se donnait le temps
De se voir face à face
Tout simplement
Se laisser faire
Sans decider
Partir ou resterPartir ou rester
Quand le depart est donné
Faire comme les autres
Qui font que s'en aller
A l'opposé des boussoles
Si c'était de même qu'ils volentEt si on laissait faire
Le temps
Le temps d'être à sa place
Toujours vivant
Et si on se donnait le temps
De se voir face à face
Tout simplement
Se laisser faire
Sans decider
Partir ou rester
Partir ou rester
Partir ou rester.
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Par Mél1 le 28 Août 2004 à 13:30
Graine de tournesol
la tête en l'air
je prends le soleil
je traîne et je tourne seule
des phrases en l'air
prêchées dans le désert
Et j'ai l'air de quoi
tant de roses autour de moi
Elles sont belles mais pas pour moiToutes tes femmes téfales
m'arrachent des larmes
qui coulent pour un rien
j'arrose ton jardin
Est-ce que c'est pour ces fleurs du mal
que ton cœur s'emballe
Je les arracherais bien
toutes ces belles plantes de tes mainsTu sèmes parfois sur le sol
des p'tits morceaux de toi
qui me vont droit au cœur
Tu m'aimes parfois
mais les herbes folles comme moi
ça poussent comme ça
des cris qui font peur
Tu as peur de quoi
je te croyais à l'épreuve des balles
moi le gratin m'est égal
je ne chasse pas les étoilesMais toutes tes femmes téfales
m'arrachent des larmes
qui coulent pour un rien
j'arrose ton jardin
Dire que c'est pour ces fleurs du mal
que ton cœur s'emballe
alors que le mien,
enfin ... tu sais bien
Mais les femmes téfales
s'en fichent pas mal
que je m'attache à toi
Toutes ces fleurs qu'on te lance
c'est normal
que tu me fasses du mal
On n'a plus le cœur à rien
quand on n'a plus le cœur sur la main.
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